Ne vous mettez pas de frein ! Il ne faut pas craindre de changer.
Pouvez-vous nous présenter votre métier chez Groupe Rocher et votre parcours, ainsi que les qualités et compétences nécessaires pour l'exercer ?
Je garantis la qualité des produits finis cosmétiques de nos usines en France et ceux de nos sous-traitants en France et à l'international. Je gère une équipe d'une dizaine de personnes en Bretagne. Pour faire mon métier, il faut de la rigueur, une bonne communication et un bon relationnel. Il ne faut pas hésiter à aller sur le terrain, savoir arbitrer, savoir corriger, cibler et s'améliorer en permanence.
Le Groupe Rocher est mon premier employeur, je travaille ici depuis 2012. C'était mon choix, dès le plus jeune âge, de travailler en cosmétique car ça donne le sourire !
J'ai démarré en qualité des produits, puis j'ai été manager de production et je suis revenu en qualité en 2024 et découvrant une nouvelle dimension : la qualité de la sous-traitance. J'ai eu la chance de travailler sur trois des sites de production du groupe en Bretagne ce qui m'a beaucoup appris du métier et des soft skills.
Comment le groupe vous accompagne-t-il dans votre apprentissage et quelles actions concrètes vous ont été les plus utiles ?
Dès mes premiers jours dans le Groupe Rocher, j'ai été placé dans un climat de confiance. J'ai eu l’opportunité d'apprendre et d'essayer. Mes managers ont toujours accompagné mon développement.
Quant à mes expériences en apprentissage, j'ai travaillé sur trois sites industriels différents, ce qui impose de s'adapter aux nouveaux environnements, créer des liens avec de nouvelles personnes. C'était riche et formateur en termes de communication, d’adaptabilité, d’agilité et d'apprentissage.
Quand je suis devenu manager, trois formes d’apprentissage m'ont permis d’appréhender le rôle. J’ai bénéficié du coaching de mon manager au moment de ma prise de mon poste, j'ai fait du co-développement en interne et j'ai suivi une formation en management.
Quant à ma mobilité inter-métier (de la qualité à la production), c'était le terrain qui a été très formateur pour moi. J'ai pris le temps de comprendre en profondeur le fonctionnement des lignes de production et cela m'a apporté des connaissances qu'aucun programme de formation ne m'aurait donné !
Quel conseil donneriez-vous à ceux qui souhaitent poursuivre leur apprentissage ?
Ne vous mettez pas de frein ! Il ne faut pas craindre de changer ; même si les choses ne marchent pas, au pire on apprend !
Soyez curieux. Allez saisir les opportunités de carrières et de développement, on a de la chance d'en avoir beaucoup dans le groupe.